utilisée pour l'éducation et chargée d'une impulsion mnémonique. Le sujet exact dépend de la bobine, mais la plante dont est tirée la shigavrille ne pousse que sur Salusa Secundus et III Delta Kaising.
Les Maisons Nobles et les élites (de la Guilde, par exemple) s'en servent pour former
.
e système de communication planétaire universel permet de relier toutes les transmissions. Le comuninet est essentiel pour transmettre les informations à l'échelle de l'univers. Il est possible de le pirater et de s'en servir d'armes contre les autres Maisons.
e goût du secret des Ixiens les a poussés à concevoir ces appareils pour décourager
. D'une taille minime, ils permettent de générer un dôme
. Le diamètre de la zone augmente avec la puissance de l'appareil, qui bloque aussi les contre-mesures. Le cône assure le secret des conversations (et agit donc comme un atout défensif contre les dispositifs d'écoute). Il peut aussi servir de manière offensive contre
.
es cristaux riduliens ont redéfini les livres : en effet, chaque page ne mesure plus que
. En raison de cette compression, le lecteur doit utiliser
inclus dans le dos du livre. L'épaisseur d'un seul volume de plusieurs milliers de pages dépassera
. Outil utile pour transporter d'incommensurables montants d'informations sans avoir besoin de beaucoup d'espace. De plus, les données sont faciles
. Les nobles et les officiers de haut rang les emmènent souvent sur le terrain. Des individus plus paranoïaques les gardent toujours à portée de main, pour alerter un contingent de sécurité prêt à intervenir.
Les renforts reçoivent le signal renvoyé par une station ou un communicateur relais.
.
es maîtres de la technologie sur Ix ont conçu ces petits carrés noirs, de la taille d'une main, pour y conserver des messages écrits. L'auteur rédige sa lettre dessus à l'aide d'une aiguille, un mot après l'autre, que la boîte absorbe au fur et à mesure. Les récepteurs nerveux du destinataire lisent le message, qui apparaît devant les yeux du lecteur. Seule une technologie particulièrement avancée peut permettre de pirater ces appareils.
Outils et équipement personnel
Cette tente hermétique fonctionne comme le distille et capture
l'humidité à l'intérieur d'elle pour que l'habitant la consomme. Ces abris sont souvent enfouis
sous une ou deux couches de sable. Des snorkels (plutôt que des conduits de ventilation) permettent d'acheminer l'air dans la tente. Les abri-distilles sont
vitaux pour voyager à la surface d'Arrakis, les Fremen les utilisent couramment.
Ce masque noir,
malléable et flexible, est une invention ixienne. Porté, il dissimule complètement
les traits du visage. L'appareil n'émet aucune trace d'énergie. Du coin de l'oeil, le porteur ressemble à une personne quelconque, et à une autre lorsqu'on le voit pour la deuxième ou troisième fois. Un capuchon ciboire permet à son utilisateur de facilement échapper aux recherches et de se fondre dans la masse sans difficulté.
Source : Adventures in the Imperium
Grâce à l'effet Holtman,
ces petits appareils flottent à proximité de l'utilisateur et éclairent ses environs. La couleur de la lumière dépend de la période de construction, et ils fonctionnent sur batterie organique.
D'un simple toucher, il est aisé de les éteindre ou de les allumer. Les brilleurs servent à éclairer des zones obscures, et parfois pour transporter discrètement des explosifs.
Les collecteurs de rosée, que l'on trouve essentiellement sur Arrakis, ressemblent à
de petits appareils ovoïdes destinées à recueillir la rosée du matin pour une utilisation ultérieure. Les collecteurs de rosée sont l'une des façons d'entretenir la vie sur la planète.
- Corde en fibre de krimskell
La fibre de krimskell résulte
du tissage de plantes d'huluf d'Ecaz. A la moindre traction,
la fibre s'accroche et se resserre : le composite obtenu est plus solide et serré. Toute tentative d'évasion d'un prisonnier attaché avec de
la "fibre croc" ne fait que renforcer les liens. Une corde en fibre de krimskell peut servir à entraver des prisonniers ou à bloquer une porte qu'on essaierait d'ouvrir.
Les Fremen ont créé
ce kit de survie en milieu désertique. Il contient tous les outils nécessaires pour subsister
un mois sur Arrakis : un manuel, un paracompas, un abri-distille, des hameçons à Faiseur, des rustines à distille et un marteleur. Le principal but de ce kit est de permettre à quelqu'un de survivre au désert
pendant un temps. Les rustines servent pour des réparations de fortune sur un distille, mais elles ne tiendront qu'une journée.?
De tout temps, le poison a été
la méthode d'assassinat préféré des nobles. Difficile à déceler, il complique l'identification
du véritable ennemi et
encore plus celle du tueur. En général, les poisons se présentent sous une forme solide (
le chaumas ajouté à la nourriture) ou liquide (
le chaumurkyu versé dans les boissons). D'innombrables morts par empoisonnement ont conduit à l'invention
des goûte-poisons, destinés à remplacer les goûteurs professionnels. Ces appareils mécaniques scannent
les substances comestibles avant consommation. Les principaux constructeurs se trouvent sur Ix et Richèse, mais la propagande continue des premiers a conduit l'opinion publique à penser que
leurs modèles sont plus sensibles.
Les goûte-poisons existent sous deux formes. La première est
une version portative rangée dans une mallette, depuis laquelle une baguette extensible est palcée au-dessus de la substance à analyser. Une alarme retentit en cas de détection de poison. Des modèles plus perfectionnés peuvent vibrer à la place d'émettre un son audible, afin de permettre une utilisation discrète.
La version plus imposante est installée sur les toits, en général au-dessus des salles à manger, et reste active en permanence. Les alarmes fixes émettent en continu un son assourdissant dont la fréquence augmente chaque minute.
Ces fins crochets en métal servent à écarter
les plaques annelées d'un ver des sables pour exposer la partie moins résistante de sa chair aux éléments. La créature tourne alors sur elle-même pour éviter que du sable se glisse dans cet interstice. L'utilisateur se retrouver donc
hissé en haut du ver et peut guider la bête à son bon vouloir.
Cet appareil, très simple, sert à
appeler les vers des sables sur Arrakis. Cette courte tige munie d'un ressort abat son marteau de manière répétée sur le sol. Certains modèles présentent un retardateur sous
la forme d'une bougie qui se consume en une heure, avant que marteleur s'active. La durée peut être allongée avec
des chandelles plus grandes, mais le risque d'échec augmente tous les quarts d'heure.
Le paracompas utilise
les anomalies dans le champ magnétique d'une planète pour déterminer les directions en mesurant les instabilités. L'objet en lui-même est petit, circulaire et se tient avec fermeté en main. En pleine nature, les paracompas sont essentiels pour
déterminer les directions et savoir vers où aller.
Les Fremen d'Arrakis produisent les pistolets baramark afin de communiquer. L'arme projette
une charge statique qui teint d'orange (ou de toute autre couleur programmée) une zone de 20 mètres de diamètre. La charge reste colorée
plusieurs heurs avant de disparaître. La zone sert de nombreux usages, comme signaler les commerçant ou les pilleurs d'épice, voire capture des vers des sables.
Le sapho est un jus préparé à base de racines de plantes d'Ecaz. Le liquide,
hautement énergétique, amplifie les pouvoirs mentaux. Le sapho est
addictif en cas de consommation régulière et laisse
des traces rubis distinctives sur les lèvres des buveurs.
Les Mentats en raffolent.
Ces serrures de taille petite à moyenne peuvent servir sur des portes aussi grandes que celles d'un entrepôt. Chacune est liée à
la paume d'un individu ou d'une génotype particulier (par exemple, celui d'une Bene Gesserit). toute autre personne doit crocheter la serrure pour l'ouvrir. Les serrures de meilleur qualité sont plus difficile à forcer.
Cet objet conçu par le peuple d'Ix permet à son utilisateur de
scanner et reproduire les signaux électrochimiques d'un cerveau humain (mort ou vif). Ainsi, il crée une copie
des traits de personnalité,
des expériences sensitives et
des souvenirs afin de s'y référer plus tard. L'objet, de taille moyenne, nécessite de fixer
des senseurs sur le corps du sujet. Un opérateur doit superviser tout le processus.
Les informations stockées sont compilées dans
un simulacre, une "copie" digitale du sujet, qui réagit comme lui aux stimuli et fournit des réponses aux questions posées. Les simulacres sont
souvent désorientés, et s'ils ont été conçus sans autorisation, ils peuvent être en colère et se montrer peu coopératifs. La rumeur veut que cette technologie permette aux Tleilaxu de créer
les gholas, des copies de personnes vivantes dont ils ont dupliqué l'esprit grâce aux sondes ixiennes.
Il est à noter que les simulacres ne sont pas réellement des machines pensantes, mais de
simples outils pour récupérer des informations et des réponses. Ils sont inévitablement limités dans leur capacité
à apprendre et à concevoir des pensées originales, incapables de former
les liens neuraux pour dupliquer l'apprentissage humain et
un véritable développement cognitif. Nombre de personnes dans l'Imperium estiment que la distinction est hors sujet, et que
ces appareils frôlent la limite de ce qui est permis par les Edits Butlériens. En raison de son immense potentiel en matière d'espionnage, la sonde ixienne est considérée comme
une innovation répugnante par la plupart des peuples civilisés, et même les espions les plus amoraux l'utilisent peu.
Le moyen le plus efficace de se prémunir d'une duplication par sonde ixienne consiste à consommer
une drogue du nom de "shere", qui perturbe la collecte d'information de l'appareil. Les données récupérées sont alors
inutilisables et illisibles. A la mort du sujet, le shere cause une détérioration rapide du système nerveux du consommateur, empêchant toute tentative future. Cette drogue n'a aucune autre utilité, et compte tenu de ses effets secondaires, peu en absorbent malgré son efficacité. Une innovation plus tardive, la sonde-T, permet de copier les souvenirs d'une personne malgré l'ingestion de shere, mais cause
une douleur incroyable, et souvent fatale, au sujet.
Les suspenseurs personnels sont souvent fixés dans
des ceintures,
des chaises et
d'autres objets portatifs. Ces appareils fonctionnent grâce à une application de
l'effet de phase d'un générateur de champ Holtzman et annulent
la gravité en un point précis. La hauteur de suspension et l'énergie consommée dépendent du poids de l'objet. Les supenseurs personnels ne permettent pas
de voler ou de stopper une chute trop grande : leur batterie se viderait trop vite. Cette application du champ fut découverte par Norma Cenva lorsqu'elle créa les brilleurs pour le compte de Tio Holtzman.